Pour ne pas confondre un raz-le-bol avec un trouble relationnel avéré : Je vous recommande le livre : Comment gérer les personnalités difficiles, de François Lelord et Christophe André, Éditions Odile Jacob.
Numéros d’urgence : – Cellule d’aide psychologique nationale : 0800 130 000, 24h/24 et 7j/7, numéro vert – Les Centres de psychologie Cogito’Z proposent aussi une Hotline psychologique gratuite, ouverte à tous avec le numéro vert 0 805 822 810, ouverte en journée.
– Pour les victimes de violence : 17, police, 24h/24 et 7j/7, ou numéro d’écoute national 3919, du lundi au samedi de 9h à 19h, vous pouvez vous rendre en pharmacie, pour la mise en place d’une protection police ou gendarmerie – Numéro d’appel enfance en danger : 119, 24h/24 et 7j/7, en priorisant les appels d’enfants – Le cas échéant, il est enfin possible de joindre le numéro 116 006 de France Victimes.
J’arrête de râler, livre de Christine Lewicki, aux Éditions Eyrolles, en vente dans toutes les librairies. Recevez le kit de démarrage : https://christinelewicki.lpages.co/kit-jarrete-de-raler/ Retrouvez aussi les autres livres J’arrête de râler : au boulot, sur mes enfants et mon conjoint, l’intégrale … et les ateliers pour les particuliers et les entreprises, sur : https://jarretederaler.com
Manuel de survie : Manuel de survie en milieu naturel, de David Manise, Editions Amphora Un livre qui a énormément à nous apprendre pour la vie et la survie, et pas qu’en milieu naturel ! Il remet les priorités en ordre. Et en faisant du transfert, on peut reprendre un certain nombre de principes pour la gestion du travail et des entreprises et la prévention de l’épuisement et du burn-out. Illustrations concrètes dans mes prochaines newsletter : abonnez-vous à ce lien : https://www.marielauredemaegdt.fr Mon coup de cœur du moment. Présentation en vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=fb9W1llVyxg
Boîte à outils pour chefs d’entreprises et artisans Je vous propose un article et deux vidéos de fond, ainsi qu’un Mastermind spécifiques d’Olivier Demaegdt. Angevin, il est entrepreneur, accompagnateur de chefs d’entreprises et coach/formateur en prise de parole.
Je n’ai jamais vraiment su quoi penser de la Saint Valentin. Et pourtant j’ai l’intuition qu’il y a quelque chose de beau à vivre, même si c’est un prétexte. Depuis quelques année, je suis bénévole dans une association qui organise des activités pour que les couples puissent prendre soin de leur Amour au fil du temps. Car oui, le couple est une aventure qui se bâtit et s’entretient, comme une maison qu’on construit. Alors je vous propose de profiter de cette fête, pour réfléchir à la manière dont on peut prendre soin d’un couple et par là même, de l’Amour… rose, rouge en forme de coeur, ou loin de tout ça !
Le saviez vous ? Il y a plusieurs Saint Valentin.
Les avis divergent sur celui qui est fêté le 14 février.
Cependant, certains supposent qu’il s’agit d’un prêtre du 3e siècle, tué parce qu’il célébrait des mariages chrétiens, alors que c’était interdit par l’empire Gallo-romain. Il agissait dans la clandestinité, et permettait aux amoureux de respecter, ainsi, les rituels qui unissaient leurs âmes à tout jamais. Romantique, non ?
Or, dans la Rome antique, le 14 février était la fête du dieu Pan, dieu des bergers, connu pour sa sexualité débridée. C’est probablement pourquoi, cette date a été remplacée par la célébration de Saint Valentin, qui présentait un aspect du couple plus mesuré et spirituel.
C’est au 20e siècle, qu’elle est devenue la fête officielle des amoureux, que nous connaissons aujourd’hui. Faute d’avoir été fêtée pendant des siècles, elle a vite été reliée à des offres commerciales, sans vraiment d’autres habitudes, moins mercantiles. C’est un choix, propre à chacun. En tout cas, probablement une occasion de communiquer au sein du couple.
S’il y a des arguments pour et contre cette fête, je trouve personnellement que c’est une belle occasion de prendre un temps tout particulier pour se poser ensemble et se demander comment on prend soin de notre amour et de notre vie de couple.
Pas besoin de « dépenser des sous », comme le dit Zazie dans sa chanson, si ça n’a pas de sens. Mais avouons que dans notre monde, qui va vite et qui met facilement à l’épreuve les liens d’amour, ce n’est pas du luxe de s’arrêter un instant pour prendre soin de ce sujet.
Propositions pour la Saint Valentin
Dans le cadre de mon activité, je propose des soins Duo, pour deux personnes. Ils sont ouverts à tous (maman enfant, amis,…).
En tant que bénévole, dans l’association Fondacio, je participe à l’organisation de plusieurs événements, dédiés à la vie de couple, avec des professionnels et d’autres bénévoles, dont la St Valentin autrement, le 15 février 2020, à Angers.
Selon mon expérience avec les personnes que je rencontre en rendez-vous réflexologie plantaire Angers, Beaucouzé.
Comment faire pour profiter de ces belles occasions de festoyer que nous offrent les fêtes de fin d’année, sans tomber dans la fatigue et le stress ?
1. Identifiez d’abord le sens de ces fêtes pour vous
Pour pouvoir vivre les événements de nos vies, nous avons besoins de leur donner du sens et un sens : une signification et une direction.
Alors pour bien vivre la période de fin d’année et ne pas avoir l’impression d’être porté par le mouvement des autres ou dépassé par les événements, il est nécessaire de chercher en nous ce qui fait sens.
Si nous ne faisons pas ce travail d’introspection, nous pouvons ressentir ces fêtes comme une contrainte extérieure, une injonction de plus à se réjouir sur commande ou à consommer à outrance.
Les questions sur lesquelles on peut se consacrer quelques minutes, et noter les réponses pour y revenir dans la période, pourraient être :
– Que signifie Noël – ou Hannouka – pour moi ? Et le Nouvel an ?
– Qu’est-ce que la période des fêtes de fin d’année représente de positif, à mon sens?
– Vers quoi est-ce que je souhaite que toute cette période me conduise ? Quel est mon besoin ? Mon objectif ? Mon élan ?
– Est-ce que j’ai des freins, des peurs, des limites à poser pour moi ou par rapport aux autres?
2. Ne vous mettez pas la pression, discernez ce qui se joue pour vous et pour les autres
Cette période est un point culminant de notre vie en société. C’est un temps où on se regroupe, plus encore que le reste de l’année.
Cela peut revêtir un certain nombre de difficultés. Parfois parce que l’on est plutôt seul et que même si on aspire à être avec d’autres, on ne se sent pas en proximité, en connivence. Parfois parce que les relations du groupe social dans lequel on est (famille, amis, …) ne sont pas cordiales et exigent un effort d’adaptation démesuré.
Ne nous mettons pas la pression. Et si nous choisissons de faire des efforts, soyons bienveillants avec nous-mêmes.
Si vous êtes la personne qui se plie en quatre tous les ans pour accueillir tout le monde sans recevoir jamais de gratitude en retour, levez le pied. Osez être plus juste et respectueux avec vous-même. N’arrêtez pas forcément tout, mais faites moins et demander à être relayé, soutenu et exprimez votre besoin de reconnaissance. Soyez au moins reconnaissant avec vous même, si ça ne peut pas venir des autres.
Ces fêtes peuvent être aussi une merveilleuse occasion d’expérimenter un principe de développement personnel que vous avez lu dans un livre.Vous pouvez aussi en profiter pour avancer avec encore plus de justesse sur un domaine en particulier dans votre relation aux autres. Qu’elles ne soient pas à la hauteur de vos espérances ou qu’elles le soient. Car quand tout va bien, on peut aussi faire grandir en nous quelque chose qui nous nourrit.
Quelques questions à se poser :
– Dans ce que ces fêtes offrent à vivre, qu’est-ce qui me parle ?
– De quoi j’ai envie et de quoi je n’ai pas envie ?
– Qu’est-ce que j’aimerais ne pas vivre et qui risque d’arriver ? Comment je peux me protéger ?
– Est-ce que je peux me donner un objectif de ressourcement ou de croissance pour ma vie, quelque chose que j’aimerais essayer pour me sentir encore mieux ?
3. Autorisez-vous à faire peu, en savourant ce qui se vit
Profitons des occasions d’émerveillement de cette période. Ne les rejetons pas. Les lumières, l’opulence des repas et des biens de consommation peuvent nous apporter un sentiment de joie, de sécurité, une confiance dans les ressources dont nous disposons collectivement.
Et pour autant, discernons ce qui se vit ensemble de ce qui se vit individuellement. Par exemple, si votre ville ou village vous permet de profiter de décorations lumineuses inspirantes, prenez le temps de les contempler plutôt que d’en remplir votre jardin individuel. Faisons du « co-luminage », comme nous faisons du covoiturage !
Ne rejetons pas les occasions de nous réjouir collectivement. Discernons pourtant avec simplicité l’abondance de la surabondance. Et choisissons, pour la planète, pour la solidarité et pour notre sérénité intérieure, une sobriété heureuse.
De même, un repas ou une table de fête peuvent être profondément ressourçant, sans forcément être surchargés. Un dessin d’enfant, un centre de table bricolé par un grand-père ou tout simplement un prénom sur un marque place, peuvent apporter une plus grande profondeur à la table, qu’une pile de sous-assiettes et de sur-nappes.
Quelques questions à se poser :
– Si rien n’était vraiment indispensable, qu’est-ce que j’aimerais quand même faire, par plaisir?
– Et si prendre soin de chacun, c’était préparer une place à chacun. Est-ce que je pourrais partager les rôles, pour participer à une fête ensemble ?
– Qu’est-ce que je préfère vraiment dans cette période ? Comment ne pas passer à côté ?
4. Utilisez des listes de tâches à effectuer justes et claires
Sur feuille libre ou avec un tableur sur l’ordinateur, sur un « kanban » partagé sur internet,… choisissez un moyen de faire des listes de ce que vous devez faire.
Par exemple, si vous avez un certain nombre de cadeaux à offrir, faite un tableau avec 5 colonnes : la liste des personnes, la liste des idées ou des cadeaux choisis, cochez quand vous avez trouvé, dans une nouvelle colonne, puis dans une dernière, cochez quand le cadeau est emballé, prêt à offrir.
Pour l’organisation de la fête chez vous, le départ chez d’autres ou la participation à un événement, faites la liste de ce à quoi vous devez réfléchir, et ce que vous avez à faire concrètement. Puis essayez de l’étaler dans le temps, dans votre agenda (au crayon effaçable, pour permettre d’adapter au fur et à mesure) ou en créant un planning dans un tableau.
N’hésitez pas à déléguer à l’avance tout ce qui peut l’être ou à prévoir une répartition des tâches pour le jour J. Ce jour là, ça peut être, à la carte, le moment venu, ou nominative, prévu d’avance.
Ne cherchez pas à être perfectionniste. Vous allez vous épuiser et fatiguer tout le monde.
Vous pouvez atteindre un certain standing dans ce que vous mettez en place, fêtes exceptionnelles oblige. Cependant n’en faites pas une galère pour vous et les autres et n’oubliez pas le sens que vous donnez à tout ça. Ca doit toujours rester votre priorité. Souvent le fond prime sur la forme.
A contrario, « c’est celui qui fait qui a raison ». Chacun sa façon de faire et du moment que l’on fait ce que l’on peut, chacun doit se sentir libre de la manière.
Ne vous laissez pas critiquer, affirmez-vous avec bienveillance le cas échéant. Pour reprendre l’adage, « c’est toujours plus facile de voir la paille dans l’œil de l’autre que la poutre dans le nôtre ».
Questions à se poser :
– Qu’y a t’il à faire?
– Qu’est-ce qui est vraiment important ?
– Qu’est-ce qui est le plus urgent ? Et qu’est-ce qui n’est pas prioritaire ?
– Est-ce que je peux m’appuyer sur d’autres ? Si oui, qui ? Et comment ? Si non, est-ce que je choisis de demander quand même ou d’en faire faire moins ?
5. Planifiez à l’avance des pauses (quitte à les déplacer) pour vous détendre
Adoptez la minute d’arrêt ! Cette attitude sécuritaire infirmière consiste à faire une pause consciente, « vider sa tête », et se reconcentrer pour revenir à ce que l’on faisait, quand on a été interrompu ou qu’on s’est déconcentré.
Respirez lentement et en profondeur régulièrement. Posez vos pieds au sol et faite un exercice d’ancrage (ressentez les parties de votre corps pour revenir à vous, puis vos appuis au sol).
Et tout au long de la période, faites des pauses. Arrêtez de « faire » pour vous sentir « être ».
Émerveillez-vous. Connectez-vous à vos rêves, vos espérances, vos élans. Relisez le sens que tout cela revêt pour vous. Réjouissez-vous de ce que vous avez déjà fait. Bravo ! Vous avez posé ces pas sur le chemin de ce que vous voulez vivre.
Si vous aimez vous challenger et que vous ne vous arrêtez pas souvent pour prendre soin de vous, regardez le chemin qui reste à parcourir d’ici la fin de l’année et discernez vos besoins pour être satisfaits à cette période-là. Nous sommes tous différents et nous ne nous épuisons pas tous à la période des fêtes. Faites ce qui est juste pour vous.
Une chose est sûre, vous aurez moins de chances de passer à côté de ce qu’il y a de beau à vivre, si vous prenez le temps de regarder ce que vous vivez. Alors, peut-être, ralentissez et utilisez vos 5 sens et votre ressenti intérieur.
Quelques questions utiles :
– Qu’est-ce que j’aime faire pour me ressourcer, en cette saison ?
– Est-ce qu’il y a une musique que j’aime et que je peux écouter en faisant autre chose ? Est-ce que je peux imprimer une photo, un tableau ou un visuel qui me donne de l’inspiration, de l’énergie et le placer dans un endroit où je le verrai souvent ?
– Est-ce que certains goûts ou certaines odeurs m’apportent de la douceur en cette période ?
– Y a t’il des matières douces ou chaleureuses, avec lesquelles j’ai envie d’être en contact (une couverture polaire, des chaussons en pilou pilou ; ) ou bien est-ce que je peux me faire un automassage ou me faire chouchouter par quelqu’un d’autre pour me détendre et me ressourcer ?
Dans cette période de fin d’année, les calendriers de l’avent fleurissent. Et si vous prépariez le vôtre avec les pensées inspirantes, positives et des attentions particulières à vous apporter à vous-même ?
On ne donne que ce que l’on a. Alors je vous souhaite d’avoir des réservoirs de sérénité, de paix, d’amitié, d’amour, de joie, pleins pendant tout l’avent pour pouvoir donner généreusement autour de vous.
Dans le cadre de mon activité de prévention de l’épuisement et du burn-out, j’ai la joie d’avoir été interviewée, par Cécile de Vitton, sur la radio RFC Anjou.
Nous abordons mon parcours, les étapes du burn-out et comment éviter ou soigner l’épuisement et le burn-out.
Nous ressentons les changements de saison, parfois, sans le remarquer. Soleil qui baisse, matins brumeux, soirées plus précoces… Comme tous les êtres vivants, notre corps s’adapte à l’éloignement du soleil et les conséquences sur la nature environnante.
Nous avons envie de ralentir et de charger nos batteries en prévision de l’hiver. En Anjou, la présence d’un végétal abondant nous permet de rester connectés à la nature et de ressentir une douceur de vivre, profitons-en! Venez vivre l’expérience d’un soin de réflexologie en pleine nature, dans le cocon de la Tiny House de soin. Et prolongez la détente, avec une ballade à pied, une halte à l’espace balnéo de Couzéo ou une boucle à vélo, en partant de l’espace de soin. La nature est votre meilleur spa, et la Tiny House en a fait son alliée.
TRANSITION D’AUTOMNE Un soin pour vous accompagner dans l’automne, précédé d’un temps d’échange sur votre ressenti saisonnier et suivi d’une tisane Wood spirit (Esprit du bois), de Mademoiselle Botanique.
CURE 4 SAISONS Un abonnement pour 1 soin à chaque changement de saison, pendant un an. Pour l’achat de cette cure, jusqu’au 15 janvier, je vous offre un soin en plus, quand vous le souhaitez dans l’année. Bonne raison de vivre l’été indien ; )Après votre soin, prenez le temps d’une ballade dans la campagne, pour prolonger la détente du corps et le désencombrement de l’esprit. Plusieurs chemins s’offrent à vous, directement depuis la Tiny House.